Afin de couvrir le spectre immense des questions posées par la déportation technique, de la (pré)histoire à nos jours (sans oublier ses formes encore à venir), des ateliers de travail collectifs ouverts à toutes les disciplines des sciences humaines et couvrant toutes les époques sont programmés. Ils associent chercheurs, ingénieurs, artistes et designers. Il s’agit d’opérer un retour sur 3,3 millions d’années de délégation technique dans tous les domaines de l’activité humaine et de se poser la question : comment réinventer la technocritique ?