Transition écologique

Face aux défis sociétaux liés à l’ampleur de la crise écologique et à la crise énergétique actuelle, l’Université Paris Nanterre est engagée dans la mise en œuvre d’une politique de transition écologique sur l’ensemble des différents sites de l’université, dans l’objectif d’améliorer les conditions de travail et de vie de toute la communauté universitaire, de réduire l’empreinte carbone de l’ensemble de ses activités et de permettre à un éco-campus de voir le jour sur le campus de Nanterre, caractérisé par ses 32 hectares et ses 7 hectares d’espaces ouverts, dont le « carré vert central ».

L’engagement pour une université plus durable remonte à plus de 15 ans et, aujourd’hui, il s’agit d’amplifier la politique de l’université en faveur de la transition écologique et de transformer les pratiques. Pour cela, fin décembre 2022, l’université a élaboré un plan en faveur de la sobriété énergétique, au sein duquel les enjeux environnementaux, de formation et de recherche rejoignent les questions de chauffage, d’éclairage, de sobriété numérique, et d’achats responsables. Parmi les actions phares de cette feuille de route, soulignons celle concernant la requalification du campus, par la rénovation de son parc immobilier ancien, notamment en favorisant l’amélioration de l’efficacité énergétique des bâtiments.

La préservation et l’amélioration de la qualité des espaces ouverts est un des autres enjeux, qui se traduit par la mise en place d’une gestion écologique des ressources et des espaces (favoriser la biodiversité, économiser l’eau, mieux trier les déchets), associée à la présence d’un rucher pédagogique et d’un jardin partagé, ou à la plantation d’une forêt nourricière.

Une politique éco-responsable vient amplifier cette préoccupation environnementale et concerne le développement des mobilités douces (renforcement du plan vélo, poursuite de la piétonisation du campus), l’information et la sensibilisation des usagers du campus et l’adoption d’une politique d’éco-gestes au quotidien.

• Plan de sobriété énergétique