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Mise en forme des savoirs à la Renaissance
Editions Armand Colin, coll. Recherches/TransferS
Publié le 5 novembre 2013 – Mis à jour le 5 novembre 2013
Mise en forme des savoirs à la Renaissance - Editions Armand Colin
La mise en forme des objets de savoir procède de multiples facteurs : habitudes et cadrages disciplinaires, normes rhétoriques et esthétiques, contraintes d’ordre technique et économique, ou encore procédures éditoriales.
Issu des réflexions croisées d’un groupe d’auteurs, cet ouvrage observe sur des cas très divers (de la mise au point d’un type de manuel mathématique ou d’une collection de cartes à l’émergence de « l’être microscopique ») la combinaison de tous ces facteurs et leur rôle dans l’élaboration de la connaissance et sa transmission à différents publics. Il observe notamment comment les contraintes et les effets de la mise en forme jouent à la fois dans le sens de la conservation et de l’innovation.
Centré sur la Renaissance et le début du xviie siècle, période à laquelle s’est posée avec acuité la question de la mise en forme de savoirs expérimentaux ou spéculatifs, cet ouvrage pluridisciplinaire s’adresse aux historiens des sciences, aux historiens du livre et à tous ceux qui s’intéressent au rôle de la médiatisation dans l’évolution des cultures.
Isabelle Pantin : est professeur à l’École normale supérieure, membre de l’Institut d’histoire moderne et contemporaine (IHMC) et associée au programme « Diagrams, Figures and the Transformation of Astronomy, 1450-1650 » de l’université de Cambridge.Issu des réflexions croisées d’un groupe d’auteurs, cet ouvrage observe sur des cas très divers (de la mise au point d’un type de manuel mathématique ou d’une collection de cartes à l’émergence de « l’être microscopique ») la combinaison de tous ces facteurs et leur rôle dans l’élaboration de la connaissance et sa transmission à différents publics. Il observe notamment comment les contraintes et les effets de la mise en forme jouent à la fois dans le sens de la conservation et de l’innovation.
Centré sur la Renaissance et le début du xviie siècle, période à laquelle s’est posée avec acuité la question de la mise en forme de savoirs expérimentaux ou spéculatifs, cet ouvrage pluridisciplinaire s’adresse aux historiens des sciences, aux historiens du livre et à tous ceux qui s’intéressent au rôle de la médiatisation dans l’évolution des cultures.
Gérald Péoux : est maître de conférences à l’université Paris-Ouest Nanterre-La Défense et chercheur associé à l’IHMC
Tous deux, ils pilotent le « Groupe d’Études Doctorales sur les Savoirs à la Renaissance » (ENS, IHMC).
Avec les contributions de Dominique Brancher, Axelle Chassagnette, Erika Giuliani, Miho Koike, Anne-Sophie Pimpaud et Alice Vintenon.
Editions Armand Colin
Tous deux, ils pilotent le « Groupe d’Études Doctorales sur les Savoirs à la Renaissance » (ENS, IHMC).
Avec les contributions de Dominique Brancher, Axelle Chassagnette, Erika Giuliani, Miho Koike, Anne-Sophie Pimpaud et Alice Vintenon.
Editions Armand Colin
Mis à jour le 05 novembre 2013