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De l'exil et des camps : Ecrire et peindre, de Max Aub à Ramon Gaya

Publié le 25 mai 2009

Centre de Recherches Ibériques et Ibéro-Américaines (CRIIA EA 369), Groupe de recherches "résistances et exils" (GREX), Bernard Sicot (éd.)

En février 1939, suite à la retirada, pour une majorité de républicains espagnols l'exil et les camps sont liés. Ils le sont aussi, naturellement, dans ce livre collectif qui réunit des communications présentées ces dernières années à diverses séances de travail du Groupe de recherches « résistance et exils » (GREX, CRIIA-EA 369) et lors d'une journée d'étude sur Max Aub (Paris 1903-Mexico 1972), figure de premier plan par son apport au corpus espagnol.
70 ans après le traumatisme, ce livre est également l'occasion de souligner, dans l'œuvre de deux écrivains hispano-mexicains particulièrement féconds, Angelina Muñiz-Huberman (Hyères 1936) et Tomás Segovia (Valence 1927), ou celle du peintre Ramón Gaya (Murcie 1910-Valence 2005), la « présence », aujourd'hui encore ressentie, de l'exil, de cette absence et de ce vide.

Mis à jour le 25 mai 2009